Se former et se développer durablement...
L'INSTITUT de FORMATIONS OPERATIONNELLES
NOS ACTUALITÉS
NOS ACTUALITÉS
Objectifs pédagogiques de la formation Vente en magasin de luxe
Valoriser sa présentation pour optimiser l'image de la marque et de son point de vente
Acquérir les attitudes et les techniques de communication adaptées à l'univers du luxe
Mieux connaître la clientèle pour établir une relation « sur-mesure »
Maîtriser les enjeux de la vente dans un environnement de rêve pour fidéliser la clientèle
Maîtriser et perfectionner toutes les étapes d'un entretien de vente
Objectifs
pédagogiques
L'accueil de la clientèle haut de gamme : Rappel des fondamentaux
Rappel des différentes étapes et principes à respecter pour offrir un accueil haut de gamme
L'attente de la clientèle et la prise en compte des attentes du client CSP++
La prise en charge du client
La considération et l'impression d'être unique
L'attitude et les gestes du vendeur haut de gamme
Focus sur la prise en charge de la clientèle étrangère : Qui sont vos clients ? Stéréotypes et conséquences
L'esprit de la vente en magasin haut de gamme / luxe
Les grandes étapes de la vente
La rencontre / La découverte / L'argumentation et la présentation de l'offre
La vente / La conclusion / La prise de congé
Savoir communiquer dans le cadre d'un entretien de vente dans l'univers du luxe
Contrôler mes attitudes, la gestuelle, l'observation et la synchronisation
Créer un climat de confiance et développer mon empathie, déterminer les distances à conserver avec mon client
Écouter son client pour mieux le connaître et découvrir son univers
S'affirmer pour être moins passif, engager le client : Renforcer mon assertivité grâce à quelques repères
Savoir travailler le contact et la relation client tout en conduisant son plan de vente
Construire et conduire un entretien de vente en magasin
Oser questionner grâce aux techniques de questionnement : Découvrir les besoins d'un client
Les questions de contrôle et la force du compliment
Être force de proposition sur le bon produit et au bon moment
L'approche ventes complémentaire : Oser proposer naturellement
Repérer les signaux et les freins à l'achat
Établir sa liste d'arguments en tenant compte de leur genre et de leur impact
Sélectionner et classer ses arguments méthodiquement
Concevoir une argumentation claire et concise
Choisir les arguments et adapter sa stratégie selon les motivations d'achat et la nationalité du client
Préparer le terrain aux objections (L'argumentation source principale de l'objection)
Les différents types d'objections
Les techniques de réfutation des objections
La conclusion et l'acte d'achat
Saisir le moment propice pour engager le client vers l'achat
Convaincre avec confiance, assurance et enthousiasme
La prise de congé
Profiter de la vente pour fidéliser le client, s'assurer de sa satisfaction
L'accompagnement jusqu'à son départ, même après le passage en caisse
JOURNÉE COMPLEMENTAIRE _ OPTION : Comportements et relations face à une clientèle étrangère
Nuances incontournables dans le verbal et le non-verbal
La communication : Mots, comportements, rituels et symboles
La proxémique : distance vs. proximité
Améliorer la conversation en évitant les malentendus
Les messages implicites et explicites
Cultures comparées & Traits de caractères
NOS ACTUALITÉS
Suivi de la formation et du management ...
Philanthropie et finance
Posted on January 9, 2019 at 10:45 AM |
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ETUDE DE MARCHE
Posted on November 17, 2017 at 6:15 AM |
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Vous avez vérifié la cohérence de votre projet par rapport à vos propres contraintes et
atouts personnels ?
Vous devez désormais vous assurer de sa faisabilité commerciale en réalisant une étude de marché.
Cette étape fondamentale est un passage obligé pour tout futur chef d'entreprise, dans la mesure où elle vous permet :
de mieux connaître les grandes tendances et les acteurs de votre marché, et de vérifier l'opportunité de vous lancer,
de réunir suffisamment d'informations qui vont vous permettre de fixer des hypothèses de chiffre d'affaires,
de faire les meilleurs choix commerciaux pour atteindre vos objectifs,
de fixer, de la manière la plus cohérente possible, votre politique "produit", "prix", "distribution" et "communication" (mix marketing),
d'apporter des éléments concrets qui vous serviront à établir un budget prévisionnel.
Pourtant, l'étude de marché est négligée par de nombreux créateurs qui n'ont pas conscience de son utilité. Si elle ne représente pas un gage de succès absolu, sa vocation est de réduire au maximum les risques en vous permettant de mieux connaître l'environnement de votre future entreprise, et ainsi de prendre des décisions adéquates et adaptées : "Je connais mon marché, je suis donc capable de décider".
- Mieux connaître les grandes tendances du marché ainsi que ses acteurs et vérifier l'opportunité de se lancer
- Fixer des hypothèses de chiffre d'affaires
- Faire les meilleurs choix pour atteindre ses objectifs
- Obtenir le mix-marketing le plus cohérent possible
- Apporter des éléments concrets qui serviront à établir le budget prévisionnel
Comment réaliser votre étude de marché ?
Mieux connaître les grandes tendances du marché ainsi que ses acteurs et vérifier l'opportunité de se lancer
L'appellation "étude de marché" peut intimider ceux qui, ne se sentant pas suffisamment compétents, préféreront éviter ou négliger cette étape.
Or, une étude de marché reste avant tout une affaire de méthode et de bon sens !
Il serait imprudent de se lancer dans un projet sans avoir répondu aux questions suivantes :
Quelles sont les grandes tendances du marché ?
Il s'agit tout d'abord de clairement identifier votre marché :
- marché des entreprises, des particuliers, des loisirs, des biens de grande consommation ?
- marché en développement, en stagnation, en déclin ?
- que représente-t-il en volume de vente et en chiffre d'affaires ?
Qui sont les acheteurs et les consommateurs ?
Quels sont leurs besoins ?
Comment achètent-ils ?
Où vivent-ils ?
Comment se comportent-ils ?
Qui sont les concurrents ?
Combien sont-ils ?
Où sont-ils ?
Que proposent-ils ?
A quels prix ?
Quel est l'environnement de mon marché ?
Il s'agit ici d'identifier :
- les processus d'innovation et les évolutions technologiques de votre marché,
- son cadre réglementaire et législatif (autorisations requises, diplôme à posséder,...),
- son environnement social, économique, politique et écologique.
Quelles sont les contraintes de mon marché et les clefs de succès ?
Quelles sont les opportunités et les menaces éventuelles ?
Que faut-il maîtriser, détenir, acquérir pour réussir sur votre marché ?
Y-a-t-il, oui ou non, une opportunité pour que mon projet réussisse ?
Votre projet a-t-il sa place sur le marché ?
Va-t-il apporter un "plus" par rapport à la concurrence ?
Va-t-il répondre à un besoin non encore couvert par la concurrence ?
Fixer des hypothèses de chiffre d'affaires
Après avoir analysé méthodiquement le marché, vous devez être en mesure d'évaluer un chiffre d'affaires prévisionnel.
Ce montant vous permettra d'alimenter votre prévisionnel financier pour déterminer si votre projet est viable financièrement.
Attention, il ne s'agit là que d'hypothèses...
Il n'existe pas une, mais plusieurs méthodes de calcul pour aboutir à un chiffre d'affaires prévisionnel :
- l'une d'elles consiste à étudier des projets similaires sur votre zone ou sur d'autres zones géographiques,
- une autre à évaluer, dans le cadre d'une enquête de terrain, les intentions d'achat des clients potentiels,
- une autre à tester votre projet en grandeur nature.
L'idéal est d'utiliser plusieurs méthodes afin de faire ressortir une hypothèse basse et une hypothèse haute.
Faire les meilleurs choix pour atteindre ses objectifs
Au regard de la compréhension de votre marché, vous allez devoir déterminer les moyens pour atteindre vos clients.
On parle de déterminer la stratégie. Pour en savoir plus sur l'utilité et l'objectif de la stratégie.
La stratégie, c'est en fait le fil conducteur qui va permettre à votre entreprise d'atteindre le chiffre d'affaires que vous avez fixé au préalable.
Il s'agit d'opter pour le meilleur angle d'attaque en tenant compte des concurrents, des clients et du projet.
En fixant votre stratégie, gardez à l'esprit la manière avec laquelle vous allez atteindre vos objectifs en vous insérant durablement sur votre marché, tout en tenant compte des spécificités de votre entreprise !
Obtenir le mix-marketing le plus cohérent possible
On appelle mix marketing l'ensemble des décisions de marketing prises par l'entreprise, à un moment donné, sur un produit ou sur l'ensemble de sa gamme, pour influencer et satisfaire sa clientèle.
Ces décisions concernent :
le produit : quel(s) produit(s) ou service(s) allez-vous proposer à vos futurs clients ?
le prix : à quels prix allez-vous le(s) vendre?
la distribution : comment allez-vous le(s) vendre ? Quels vont être vos réseaux de distribution (en direct, avec des intermédiaires, par internet) ?
et la communication : comment allez-vous vous faire connaître ?
Exemple de manque de cohérence : accepteriez-vous d'acheter du pain 30 % plus cher qu'ailleurs, alors que celui-ci ne serait pas de meilleure qualité que celui des autres boulangers ?
Apporter des éléments concrets qui serviront à établir le budget prévisionnel
Après avoir défini les différents éléments du mix-marketing, vous êtes en mesure de chiffrer le coût des actions que vous envisagez de mettre en oeuvre pour vous lancer.
Quel sera le coût de fabrication ou de production du produit par exemple ?
Quel seront les coûts de commercialisation ?
Ou encore, quel sera le coût de la promotion ou de la communication ?
Tous ces éléments chiffrés seront par la suite réintégrés dans le plan de financement de votre entreprise.
Comment réaliser votre étude de marché ?
Tout d'abord en acquérant un minimum de connaissances sur la notion de "marché" et sur les moyens d'actions permettant d'agir sur un marché.
Puis en suivant une démarche ordonnée et structurée : recherche d'informations, réalisation d'enquêtes, synthèse et analyse des informations recueillies, rédaction d'un rapport, estimation du CA prévisionnel, ...
FORMATION : DIRECTEUR COMMERCIAL
Posted on July 10, 2017 at 10:50 AM |
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Le Directeur commercial élabore la politique commerciale de l’entreprise dans le respect de la stratégie définie avec la direction générale et des budgets fixés.
Le directeur commercial suit et contrôle les mises en œuvre sur le terrain.
Il travaille en étroite collaboration avec le directeur marketing.
Dans les PME, le PDG cumule souvent les trois fonctions : direction générale, direction marketing, direction commerciale.
Le directeur commercial manage les équipes commerciales , il gère et contrôle l’ensemble des moyens
commerciaux. Il conduit les négociations commerciales importantes.
Objectifs de la formation de perfectionnement Directeur commercial :
- Se former aux apports du digital dans la stratégie et le plan d'action commercial
- Parfaire la formation en management des équipes commerciales
Public visé par la formation Directeur commercial :
Le programme de perfectionnement Directeur commercial s’adresse :
- aux commerciaux qui veulent évoluer vers un poste de directeur commercial
- aux directeurs des ventes qui veulent étudier l'impact du digital dans la vente
- aux dirigeants d'entreprises qui cumulent leurs fonctions de direction d'entreprise avec celles de directeur commercial
Formateurs de la formation Directeur commercial :
Les experts qui ont enregistré les formations du programme Directeur commercial sont des spécialistes :
- du développement commercial
- du digital que ce soit pour le commerce B to B ou pour la vente en magasins
- du management des individus et des équipes
Une contribution unique et un Opca uniqu
Posted on March 15, 2017 at 5:45 AM |
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Une contribution unique et un Opca unique
1) La création d’une contribution unique :
La loi a simplifié les modalités de financement de la formation professionnelle en instituant une
contribution unique versée à un organisme unique, en lieu et place d’un dispositif prévoyant
trois types de contributions versées à différents collecteurs, assorti d’un dispositif de dépenses
libératoires.
Le nouveau principe est donc simple : un seul taux par entreprise, ce taux étant déterminé en
fonction de l’effectif. Une fois le taux connu, il suffit de l’appliquer à la masse salariale de
l’année considérée et de verser la somme correspondante à l’Opca dont relève l’entreprise.
Cette contribution sera :
- versée pour la première fois à compter de la collecte réalisée en 2016 ;
- calculée sur les rémunérations payées en 2015 ;
- versée à un Opca unique qui collectera l’ensemble des fonds de la formation
professionnelle, y compris le CIF.
Elle devra être versée avant le 1er mars de l’année N+1 à l’Opca. Ainsi, le premier versement
devra intervenir avant le 1er mars 2016.
Un décret n°2014-1420 du 24 octobre 2014 fixe la répartition de cette contribution unique et
reprend, les pourcentages fixés par l’Ani du 14 décembre 2013 (articles R 6332-22-2 à R 6332-
22-6 du code du travail).
En outre, les Opca devront verser au Fonds paritaire de sécurisation des parcours
professionnels (FPSPP) les fonds collectés au titre de son financement avant le 30 avril de
chaque année (article R 6332-22-6 du code du travail).
2) Les nouveaux taux de la contribution unique :
La contribution unique est calculée sur la base des salaires versés par l’employeur au cours de
l’année précédente (N-1), selon des taux déterminés par l’effectif de l’entreprise
(articles L 6331-2 et L 6331-9 du code du travail) :
- 0.55 % : entreprises de moins de 10 salariés ;
- 1% : entreprises de 10 salariés et plus (ce taux peut être ramené à 0.8 % si
l’employeur s’engage pour trois ans par accord d’entreprise à financer directement le CPF
(compte personnel de formation) de ses salariés à hauteur d’au moins 0.2 % de la masse
salariale
Les employeurs qui, en raison de l’accroissement de leur effectif, atteignent ou dépassent au
titre d’une année, pour la première fois, l’effectif de 10 salariés restent soumis, pour cette année
et les deux années suivantes, à l’obligation de financement prévue pour les entreprises de
moins de 10 salariés (article L 6331-15 du code du travail). Cela signifie que pendant trois ans
(N, N+1, N+2), ils seront soumis au taux de 0.55 %.
Au-delà, le taux ne sera pas immédiatement porté à 1 %, puisque pour la quatrième et la
cinquième année, le taux sera calculé en diminuant le montant des rémunérations versées
pendant l’année d’un montant équivalent à respectivement 0.3 % et 0.1 % (article R 6331-12 du
code du travail).
Exemple : la contribution due en cas de franchissement du seuil de 10 salariés sur une masse
salariale de 1 million d’€ est égale à :
- 0.55 % X 1 000 000 € (soit 5 500 €) pour les années N, N+1 ; N+2 ;
- 1 % X 997 000 € (9 970 €) pour l’année N+3 ;
- 1% X 990 000 € (9 990 €) pour l’année N+4 ;
- 1 % x 1 million d’€ (10 000 €) à partir de l’année N+5.
Source : SVP Experts
la Taxe d'apprentissage
Posted on February 20, 2017 at 3:55 AM |
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Le champ d’application
Selon les dispositions de l’article 1599 ter A du CGI, sont redevables de la taxe d’apprentissage :
1. Les personnes physiques ainsi que les sociétés soumises au régime fiscal des
sociétés de personnes, lorsque ces personnes et sociétés exercent une activité
industrielle ou commerciale ;
2. Les sociétés, associations et organismes passibles de l'impôt sur les sociétés au
taux de droit commun ;
3. Les sociétés coopératives de production, transformation, conservation et vente de
produits agricoles, ainsi que leurs unions fonctionnant conformément aux
dispositions légales qui les régissent, quelles que soient les opérations poursuivies
par ces sociétés ou unions ;
4. Les groupements d'intérêt économique fonctionnant conformément aux articles
L. 251-1 à L. 251-23 du Code de commerce et exerçant une activité industrielle ou
commerciale.
Sont affranchis de la taxe :
1. Les entreprises occupant un ou plusieurs apprentis avec lesquels un contrat
régulier d'apprentissage a été passé, lorsque la base annuelle d'imposition à la taxe,
n'excède pas six fois le salaire minimum de croissance annuel (soit 105.596,40 €
pour les salaires versés en 2016) ;
2. Les sociétés et personnes morales ayant pour objet exclusif les divers ordres
d'enseignement ;
3. Les groupements d'employeurs composés d'agriculteurs ou de sociétés civiles
agricoles bénéficiant de l'exonération, constitués selon les modalités prévues au
chapitre III du titre V du livre II de la première partie du Code du travail, et à
proportion des rémunérations versées dans le cadre de la mise à disposition de
personnel aux adhérents non assujettis ou bénéficiant d'une exonération, les autres
groupements d'employeurs constitués selon les modalités prévues au chapitre III du
titre V du livre II de la première partie du Code du travail.
L’assiette
La taxe d'apprentissage est calculée sur la même assiette que celle retenue pour le calcul
des cotisations de sécurité sociale telle qu'elle résulte de l'article L. 242-1 du
Code de la sécurité sociale, c'est -à-dire sur l'ensemble des sommes versées aux
travailleurs en contrepartie ou à l'occasion du travail, notamment les salaires ou
gains, les indemnités de congés payés, le montant des retenues pour cotisations
ouvrières, les indemnités, primes, gratifications et tous les autres avantages en
argent, les avantages en nature, ainsi que les sommes perçues directement ou par
l'entremise d'un tiers à titre de pourboire.
Sont exclues de l'assiette de la taxe d'apprentissage toutes les sommes qui ne
constituent pas des rémunérations au sens de la réglementation sociale.
La référence à l'assiette des cotisations sociales ne conduit pas à appliquer les
dispositifs de réduction ou d'exonération concernant les cotisations de sécurité
sociale. De telles mesures sont en effet sans incidence sur la qualification de
rémunération au sens des dispositions du code de la sécurité sociale et donc sur
l'assiette de la taxe d'apprentissage.
Particularité concernant l’assiette de la taxe relative aux apprentis (article L 1599 ter C du CGI):
Pour les entreprises de moins de 11 salariés le salaire des apprentis est exonéré.
Pour les entreprises de 11 salariés et plus, l’assiette forfaitaire due aux apprentis est
retenue après un abattement de 11% du SMIC.
Le taux de la taxe d'apprentissage est fixé :
- à 0,68% (art. 1599 ter B du CGI) des salaires versés dans l'ensemble des
départements autres que ceux du Bas-Rhin, du Haut-Rhin et de la Moselle.
.
- à 0,44 % des salaires versés dans les établissements situés dans les
départements du Bas-Rhin, du Haut-Rhin et de la Moselle (art. 1599 ter J
du CGI).
En outre, les entreprises employant au moins 250 salariés peuvent être redevables
de la Contribution Supplémentaire à l’Apprentissage (CSA).
La contribution supplémentaire à l’apprentissage (CSA) est visée à l’article 1609 quinvicies du C.G.I.
Cette contribution est due par les entreprises de 250 salariés et plus qui sont
redevables de la taxe d'apprentissage en application de l'article 1599 ter A et dont
l'effectif annuel moyen, pour l'ensemble des catégories suivantes, est inférieur à un certain seuil :
- les salariés sous contrat de professionnalisation ou d'apprentissage ;
- les jeunes accomplissant un volontariat international en entreprise régi par la
section 1 du chapitre II du titre II du livre Ier du Code du service national ou
bénéficiant d'une convention industrielle de formation par la recherche.
Ce seuil est égal à 5 % de l'effectif annuel moyen de l'entreprise au cours de l'année
de référence.
Cette contribution est assise sur les rémunérations retenues pour l'assiette de la taxe
d'apprentissage. Elle dépend de la proportion d’alternants dans l’effectif moyen de
l’entreprise.
votre projet d'entreprise
Posted on December 30, 2016 at 11:55 AM |
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La commande des services de formation
Posted on October 14, 2016 at 6:05 AM |
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La définition des besoins et des objectifs de la formation : une étape indispensable
Comme le rappelait en 2015 l'enquête du Centre Inffo sur l'achat de formation, la majorité des entreprises restent fidèles à leurs prestataires. Et il est vrai qu'acheter une formation ne nécessite pas automatiquement de challenger plusieurs organismes. Certaines offres " classiques " présentent au catalogue des organismes peuvent parfaitement répondre à des besoins d'entreprise.
Pourtant, certaines demandes peuvent exiger une procédure d'appel d'offres : de nombreux salariés à former, avec des niveaux de qualification hétérogènes, le recours à de la formation à distance pour des salariés éloignés géographiquement, un besoin sur un sujet technique pointu...
L'analyse précise du besoin est essentielle avant de se lancer dans une mise en concurrence. Le responsable formation ou l'acheteur doit s'interroger sur l'objectif de la formation : montée en compétence de salariés, évolution professionnelle, changement de poste, avancée technologique, changement de la réglementation en vigueur ou une nouvelle orientation de l'offre commerciale...
Les premières phases de l'appel d'offres : le sourcing
L'organisation d'un appel d'offres requiert, de la part du service RH ou de la direction des achats qui le prendra en charge, d'avoir une bonne connaissance du marché de la formation, notamment des modalités pédagogiques existantes mais surtout des acteurs en présence.
La présélection des prestataires est la première phase à laquelle l'acheteur devra s'atteler.
Le plus souvent, dans les grandes entreprises, les services RH ont déjà référencés les organismes avec lesquels ils ont l'habitude de travailler. Ce référencement - qui n'est pas toujours simple en raison du large éventail d'organismes mais aussi d'offres existants en France - est un axe important de l'achat de formation. Certaines entreprises souhaitent alors être accompagnées dans l'identification des prestataires avec lesquels travailler. on est un des acteurs qui peut les aider dans cette démarche, au travers de son offre Synthèse Sourcing adapté spécifiquement à l'achat de formation.
Reste alors à choisir, parmi ce panel, les organismes qui sont le plus pertinents par rapport aux besoins exprimés. Une attention particulière doit être apportée à la rédaction de l'offre et du cahier des charges à leur adresser. Il doit comporter un certain nombre d'indications qui permettront une véritable analyse et comparaison des réponses.
Le demandeur doit présenter son entreprise, l'objectif détaillé de la formation, les attentes en termes de résultat, les compétences à acquérir, le public ciblé (leur qualification, s'ils ont besoin d'une initiation ou d'une formation de perfectionnement, leur poste...), la durée et le planning souhaités ainsi que les modalités pédagogiques à développer.
L'évaluation des réponses
Le cahier des charges doit, enfin, spécifier le délai de réponse et les informations nécessaires sur le prestataire, comme par exemple la qualification des futurs intervenants.
Une fois les propositions reçues, l'entreprise doit les analyser, afin d'en vérifier la pertinence et la cohérence. Cela sous-entend, qu'en amont, des critères d'évaluation auront dû être définis. Il pourra s'agir de vérifier la compréhension du besoin, le rapport entre le coût de la prestation et l'offre formulée, l'évaluation des compétences mais aussi des aspects plus extérieurs comme la santé financière du prestataire.
Le critère incontournable : la qualité ?
La réforme de 2014 a introduit dans le code du travail la notion de qualité des actions de formation professionnelle continue.
Elle a chargé les financeurs de la formation ( Opca, Opacif, Régions, Etat, Pôle Emploi,etc ) le soin de s'assurer de cette qualité sur la base de critères qui ont été listés et définis dans un décret n°2015-790 du 30/06/2015 et s'appliqueront à compter du 01/01/2017.
Cela signifie pour le prestataire de formation, soit d'apporter la preuve de sa capacité à respecter les critères de qualité, soit être certifié ou labellisé.
Le Cnefop (Conseil national de l'emploi de la formation et de l'orientation professionnelle) vient de publier une première liste de certifications et labels conformes au décret qualité.
Si les entreprises ne sont pas contraintes par ce décret, ni pour leur formation en interne, ni pour les actions de formation qu'elles autofinancent, un Questions/Réponses du Ministère du travail leur conseille de s'en inspirer...
Mais " la certification ne garantit pas le zéro défaut et elle n'évite pas les erreurs de stratégie de l'organisme de formation " prévient Thomas Cornu, ingénieur Afnor. (In Entreprise et Carrières N°1260)
De plus les responsables de formation n'ont jamais été sensibles à ces certifications. Ils y accordent peu d'importance et disent faire confiance à leurs appels d'offres sur cahier des charges avec suivi et panélisation interne. Ils ne veulent pas se faire dicter des principes qualité alors que leur analyse repose sur des années d'expérience et de suivi des prestataires de formation.
Ce qui compte c'est la manière qu'ont les organismes de formation de répondre à des besoins de plus en plus pointus qui ne laissent pas la place à l'amateurisme.
Le CPF (compte personnel de formation) et le DIF (droit individuel à la formation)
Posted on August 1, 2016 at 6:10 AM |
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Le CPF (compte personnel de formation) remplace le DIF (droit individuel à la formation) pour les salariés du secteur privé, les apprentis et les personnes à la recherche d'un emploi depuis le 1er janvier 2015.
Les heures CPF sont créditées automatiquement chaque année en fonction de votre activité professionnelle de l'année qui précède.
Les heures de DIF acquises jusqu'au 31 décembre 2014 restent utilisables dans le cadre du CPF, il suffit de les saisir sur votre compte.
Le financement des formations proposées dans le cadre du CPF peuvent inclure des heures DIF, CPF ainsi que des compléments.
Le CPF (compte personnel de formation) est ouvert à toute personne d’au moins 16 ans (15 ans pour les jeunes ayant conclu un contrat d’apprentissage).
Pour acquérir des heures, il faut être ou avoir été salarié du secteur privé ou agricole. Les heures sont inscrites automatiquement dans le compte d’heures.
C’est vous qui disposez de ce crédit d’heures, quel que soit votre situation : salarié, ou à la recherche d’emploi. Ces heures ne sont jamais perdues, même si votre situation change (changement d’employeur, par exemple) perte d’emploi.
Ce nombre d’heures de formation vous permet d’accéder à une formation, répertoriée sur une liste et vous permettant d’acquérir une qualification, une certification…
Le DIF est lié à l’existence d’un contrat de travail aussi bien à durée indéterminée qu’à durée déterminée. Il faut donc être salarié pour y avoir droit. Les salariés du secteur public en bénéficient toujours, hors dispositif CPF.
La gestion des heures de DIF dans l’entreprise était de la responsabilité de l’employeur.
Il vous est possible d'utiliser vos heures de DIF (acquises avant le 31 décembre 2014) pour effectuer des formations dans le cadre du compte personnel de formation jusqu'au 31 décembre 2020.
L'ORIENTATION TOUT AU LONG DE LA VIE
Posted on August 1, 2016 at 5:55 AM |
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Le système de l’orientation a été restructuré en France sur la dernière décennie.
Des réformes récentes en matière de décentralisation et de formation professionnelle ont eu un impact sur l’intervention des structures d’orientation, les personnels et les services d’orientation.
Service public de l’orientation :
En 2009, une loi crée la notion de « service public de l’orientation » (SPO). Ce service public garantit à toute personne l’accès à une information gratuite, complète et objective sur les métiers, les formations, les certifications, les débouchés et les niveaux de rémunération.
Par ailleurs, il facilite l’accès à des services de conseil et d’accompagnement en orientation de qualité, notamment au travers d’outils dématérialisés.
Service public régional de l’orientation (SPRO) :
En 2014 est créé le « service public régional de l’orientation » (SPRO). La loi maintient le principe d’un service public en matière d’orientation mais confie la coordination des actions des structures d’orientation (formation par apprentissage et continue) aux Régions, désormais à la tête d’un SPRO.
Notons toutefois que l’État conserve la responsabilité des politiques relevant de l’orientation initiale (formation scolaire et universitaire).
Conseil en évolution professionnelle (CEP) :
Dans le cadre du SPRO, est également créé un nouveau dispositif d’orientation : le conseil en évolution professionnelle (CEP).
Les salariés, demandeurs d’emploi, jeunes sortis du système scolaire peuvent bénéficier gratuitement du CEP dont les modalités de mise en œuvre sont définies dans un cahier des charges national.
Cinq réseaux d’opérateurs sont désignés pour assurer cette prestation de CEP : Pôle emploi, l’Apec, les Cap emploi, les Missions locales, et les Opacif, organismes paritaires collecteurs agréés au titre du congé individuel de formation.
La Région peut désigner des opérateurs
régionaux.
FORMER régulièrement SES SALARIES
Posted on April 6, 2016 at 12:35 AM |
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. PASSEZ A L’ACTE
Les dispositifs de formation sont donc nombreux et peuvent tous vous aider à atteindre vos objectifs si vous les mobilisez à bon escient, c’est-à-dire une fois votre projet bien défini et en ayant une bonne connaissance de ce qu’ils peuvent vous apporter.
Dans cette perspective, vous trouverez ci-dessous une trame pour structurer votre démarche globale :
• vous préparer ;
• définir vos orientations générales, les formaliser, et vous organiser ;
• concrétiser votre projet.
Etape n°1 : comprendre «qui fait quoi»
Enjeu :
Bien appréhender les responsabilités, droits et devoirs de chacun en matière de formation professionnelle et identifier les ressources sur lesquelles vous appuyer.
Comment ?
• Repérer vos interlocuteurs.
• Identifiez l’offre de formation locale existante et analyser si elle est adaptée à vos besoins et accessible à vos salariés.
• Repérez sur le site internet de votre OPCA les conditions de mise en œuvre et de prise en charge des actions de formation.
• Demander conseil à un formateur indépendant.
À retenir :
Avant de vous engager dans une démarche de formation, prenez le temps de bien identifier les acteurs avec lesquels vous allez être amenés à discuter/négocier pour la mise en œuvre de vos actions.
Etape n°2 : faire le point sur vos pratiques de formation
Enjeu :
Identifier ce que vous faites déjà (et avec quelles ressources), repérer les freins et déterminer les marges de progrès.
Comment ?
• Identifiez les formations que vous avez mises en place au cours des trois dernières années, en particulier les formations récurrentes.
• Estimez les coûts afférents à l’ensemble de votre effort de formation (dépenses de formation et valorisation financière du temps de travail consacré par les salariés).
• Identifiez les résultats obtenus (nombre et profil des bénéficiaires, nombre d’heures de formation, qualifications et/ou évolutions constatées pour les personnes, etc.).
• Mettez en débat les éléments collectés pour déterminer les freins au développement de la formation et établir des pistes de progrès.
Etape n°3 : analyser vos besoins de formation
Enjeu :
Identifier et quantifier vos besoins de formation, définir les plus-values attendues d’une politique de formation.
Comment ?
• Analysez les compétences nécessaires à l’exercice des métiers et les écarts éventuels avec celles dont disposent réellement vos équipes.
• Analysez les besoins de formation de vos salariés, en croisant deux dimensions :
leurs besoins en termes de mobilisation et de compétences fondamentales, les compétences liées aux métiers qu’ils exercent.
• Hiérarchisez les besoins identifiés en les mettant en perspective avec votre projet (création ou développement d’activités) et votre organisation du travail.
À retenir :
Au-delà des besoins spécifiques de tel ou tel salarié, essayez de dégager des lignes directrices, en identifiant notamment les besoins
récurrents